Moissac. 420 000 euros de lingots d'or volés chez un patron

Pauvre patron .............



Douze kilos d'or ont été volés chez un chef d'entreprise de Muret vivant à Moissac./Photo DDM, archives
Douze kilos d'or, c'est l'impressionnant montant d'un cambriolage dont a été victime un chef d'entreprise de Muret, le 15 avril dernier, à Moissac.
Depuis deux mois, trois individus de 23, 29 et 50 ans, originaires de Colayrac (47) ont été écroués et mis en examen pour vol en réunion. Le précieux magot d'une valeur de plus de 420 000 euros, est toujours dans la nature.
DES LINGOTS D'OR STOCKÉS DANS UNE ARMOIRE

Dans la soirée dominicale du 15 avril, le directeur de la Sovamep, un Moissagais vivant avec sa compagne dans une résidence, chemin des Vergers, dîne chez sa belle-fille et son gendre. Il ne se doute pas qu'au même moment un individu, bien informé, est en train de lui dérober chez lui une caissette contenant une dizaine de kilos d'or. Une quantité de métal précieux que le chef d'entreprise murétains a ramené à son domicile tarrn-et-garonnais. Le site de sa société, rue Joseph-Cugnaux, à Muret, spécialisée dans la revalorisation de déchets industriels comme l'or contenu dans le matériel informatique obsolète, étant en travaux. Il n'était pas difficile pour les cambrioleurs de faire main basse sur les lingots négligemment stockés dans une armoire de cette résidence de la cité uvale.
UN VOL SANS EFFRACTION

Pas d'alarme à neutraliser, ni de coffre à forcer. Un jeu d'enfant. Un casse d'autant plus facile et surprenant pour les enquêteurs de la brigade de recherche (BR) et du groupe enquête de lutte anticambriolage (Gélac) de Castelsarrasin qu'il a été commis sans aucune effraction. Plus étonnant encore, le fait que les cambrioleurs n'aient emporté avec eux aucuns autres objets de valeur. Un mode opératoire qui interrogeait d'emblée les limiers des deux services de gendarmerie qui n'ont pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.
DES PROCHES DE LA VICTIME

Selon nos informations, les investigations se seraient rapidement orientées sur le très proche entourage du chef d'entreprise. Seule une personne bien informée pouvait, en effet, savoir à la fois que les lingots étaient stockés sans protection au domicile du chef d'entreprise et que le couple était absent, ce soir-là, durant trois heures pour un dîner.
Convoquée dans les locaux de la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, toute la famille du gendre, originaire du Lot-et-Garonne, a été entendue. Des auditions suffisamment contradictoires pour que le parquet de Montauban autorise le placement en garde à vue de six personnes dont deux femmes. Ces dernières ont été depuis relâchées et mis hors de cause. Ce qui n'est pas le cas, du gendre (salarié de l'entreprise volée), du frère et du père de ce dernier. Déférés, leurs dénégations et la défense de leur avocat, Philippe Briat, mentor du barreau agenais, n'ont pas suffi à convaincre la juge d'instruction chargée du dossier. Les trois hommes croupissent depuis près de deux mois à la maison d'arrêt de Beausoleil, sans avoir dit un mot. Mardi dernier dans le cadre de l'information judiciaire ouverte, la magistrate montalbanaise les aurait à nouveau confronté dans son bureau. En vain. Les lingots ont t-ils été planqués après le vol ? Un comparse les a t-il déjà vendu en Belgique ou en Espagne et placé l'argent sur un compte en Suisse ? L'énigme reste entière…

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/04/1393513-12-kg-de-lingots-d-or-voles-chez-un-patron.html#xtor=EPR-1

Pauvre patron .............



Douze kilos d'or ont été volés chez un chef d'entreprise de Muret vivant à Moissac.
Douze kilos d'or, c'est l'impressionnant montant d'un cambriolage dont a été victime un chef d'entreprise de Muret, le 15 avril dernier, à Moissac.
Depuis deux mois, trois individus de 23, 29 et 50 ans, originaires de Colayrac (47) ont été écroués et mis en examen pour vol en réunion. Le précieux magot d'une valeur de plus de 420 000 euros, est toujours dans la nature.
DES LINGOTS D'OR STOCKÉS DANS UNE ARMOIRE

Dans la soirée dominicale du 15 avril, le directeur de la Sovamep, un Moissagais vivant avec sa compagne dans une résidence, chemin des Vergers, dîne chez sa belle-fille et son gendre. Il ne se doute pas qu'au même moment un individu, bien informé, est en train de lui dérober chez lui une caissette contenant une dizaine de kilos d'or. Une quantité de métal précieux que le chef d'entreprise murétains a ramené à son domicile tarrn-et-garonnais. Le site de sa société, rue Joseph-Cugnaux, à Muret, spécialisée dans la revalorisation de déchets industriels comme l'or contenu dans le matériel informatique obsolète, étant en travaux. Il n'était pas difficile pour les cambrioleurs de faire main basse sur les lingots négligemment stockés dans une armoire de cette résidence de la cité uvale.
UN VOL SANS EFFRACTION

Pas d'alarme à neutraliser, ni de coffre à forcer. Un jeu d'enfant. Un casse d'autant plus facile et surprenant pour les enquêteurs de la brigade de recherche (BR) et du groupe enquête de lutte anticambriolage (Gélac) de Castelsarrasin qu'il a été commis sans aucune effraction. Plus étonnant encore, le fait que les cambrioleurs n'aient emporté avec eux aucuns autres objets de valeur. Un mode opératoire qui interrogeait d'emblée les limiers des deux services de gendarmerie qui n'ont pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.
DES PROCHES DE LA VICTIME

Selon nos informations, les investigations se seraient rapidement orientées sur le très proche entourage du chef d'entreprise. Seule une personne bien informée pouvait, en effet, savoir à la fois que les lingots étaient stockés sans protection au domicile du chef d'entreprise et que le couple était absent, ce soir-là, durant trois heures pour un dîner.
Convoquée dans les locaux de la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, toute la famille du gendre, originaire du Lot-et-Garonne, a été entendue. Des auditions suffisamment contradictoires pour que le parquet de Montauban autorise le placement en garde à vue de six personnes dont deux femmes. Ces dernières ont été depuis relâchées et mis hors de cause. Ce qui n'est pas le cas, du gendre (salarié de l'entreprise volée), du frère et du père de ce dernier. Déférés, leurs dénégations et la défense de leur avocat, Philippe Briat, mentor du barreau agenais, n'ont pas suffi à convaincre la juge d'instruction chargée du dossier. Les trois hommes croupissent depuis près de deux mois à la maison d'arrêt de Beausoleil, sans avoir dit un mot. Mardi dernier dans le cadre de l'information judiciaire ouverte, la magistrate montalbanaise les aurait à nouveau confronté dans son bureau. En vain. Les lingots ont t-ils été planqués après le vol ? Un comparse les a t-il déjà vendu en Belgique ou en Espagne et placé l'argent sur un compte en Suisse ? L'énigme reste entière…

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/04/1393513-12-kg-de-lingots-d-or-voles-chez-un-patron.html#xtor=EPR-1

la tête qu'il a du faire devant son armoire vide !!!!!

Comme moi quand j'ouvre mon porte monnaie et qu'il y as plus de sous dedans, mais qu'ils sont tous dehors

:lol!:je connais !!!!

C'est pas pire que de sortir pour prendre sa voiture et s’apercevoir qu'elle n'est plus là.

ben si quand même, avec tout cet argent il aurait pu s'en payer un paquet de voiture...

coccinelle a écrit:

ben si quand même, avec tout cet argent il aurait pu s'en payer un paquet de voiture...

Bien que je ne sache pas comment il traite son personnel, je pourrais aussi dire qu'il pourrait mieux les payer ou leur offrir une prime de fin d'année.

ben c'est sur qu'il aurait du en profiter ou en faire profiter les autres.. maintenant envolé !!!