Oui, nous constatons que le monde des hommes est le reflet de leurs idées...
Nous trouvons toutes les tendances, tous les possibles.
Mai les sociétés humaines fabriquent leur malheur.
Car il n'est nul besoin d'abattoir puisque l'homme peut et doit vivre en consommant des végétaux.
À ceci s'ajoutent les spectateurs des corridas. Qu'ont-ils dans la tête, je l'ignore...
Et si nous regardons plus loin, nous voyons que les hommes s'entre-déchirent à qui mieux mieux.
Il y a là une logique fondamentale...
Jacques Brel écrivait:
Est-ce qu´en tombant à terre
Les toros rêvent d´un enfer
Où brûleraient hommes et toreros défunts?
Ah!
Ou bien à l´heure du trépas
Ne nous pardonneraient-ils pas
En pensant à Carthage, Waterloo et Verdun?
Verdun!
