Merci pour la documentation .
J'ai ramené quelques graines de pissenlits d'Antraigues .
En redescendant - - à pieds sur la gauche de la route il y a un vieux muret en pierres grises usées par le temps et derrière ce muret il y avait de magnifiques fleurs de pissenlits certains en fleurs certains en parachutes .le muret fait tout juste un mètre , je me suis penché par dessus et en m'agrippant à une grille enfer entièrement rouillée j'ai bourré une de mes poches de ces parachutes .

Certains de ces parachutes ornent à présent quelques endroits du jardin .
C'est un peu une façon de penser à Jean FERRAT .
Je remarque sur la photo ceci :

du moins le même symbole , posé sur le piano .
Cette réplique de la Menorah du temple est exposée dans un square, face au Mur des Lamentations .
Il semble tout à fait logique de ce chandelier se trouve là lorsque l'on découvre le véritable nom de Jean .
Il y a une chanson que j'adore de Jean , pratiquement jamais entendue , c'est celle-ci :
https://youtu.be/UWBlYsecwGg .
Elle est écourtée et la musique manque de relief , sur les CD cette chanson est reprise avec force et l'accompagnement est absolument génial .
Etant un joueur de pétanque j'ai de suite remarqué la façon originale dont ils marquaient les points . Sur une espèce de planchette de 20 cms de haut sur environ 10 cms de large avec des petits trous , 13 en tout , une rangée à gauche de la planchette et une rangée sur la droite des trous de deux où 3m/m . au dessus de la planche pendent deux ficelles avec au bout des espèces de clous qui viennent se ficher dans ces trous et indiquent ainsi le score , trous bien sur , numérotés de 1 à 13 . 13 étant , dans les concours , les points à atteindre pour gagner la partie . Cette planchette étant elle-même clouée sur un gros arbre au bord du terrain du jeu . je pense que vous savez tous que lorsque une équipe ne marque aucun point elle est déclarée fanny ! il y a une LOI qui sanctionne cet échec .
Bien évidemment elle ne s'applique et n'est appliquée que s'il y a une jolie fille ou jolie dame dans l'une où l'autre des équipes !
Et forcément les mâles joueurs s'emploient à faire faire fanny à un équipe et l'autre équipe ayant le même et coquin objectif !
Alors quelle est cette sanction ? enfin sanction pour la jolie fille où jolie dame et plaisir non dissumilé par les vainqueurs mâles .
Il faut donc embrasser le cul de fanny ! pauvre fille où dame , enfin pauvre , on ne sait pas trop , non seulement elle a perdu la partie et en plus elles doit montrer ses fesses .
A noter que le plus souvent on laisse marquer au moins un point à l'équipe qui rique d'être fanny au grand soulagement de la fanny qui commencait à rougir . les pétanqueurs sont aussi des gentlemans . mais parfois ?????
Le terme CUL doit être absolument être employé dans cette tradition bien provençale .
Voilà , j'espère avoir participé un peu et ce pour la mémoire de Jean FERRAT .
Complément d'enquète :
Embrasser FANNY
[size=40]Embrasser Fanny[/size][size=30]c'est perdre une partie de boules (jeu provençal ou pétanque) sur le score de 13 à 0. Le perdant ou l'équipe perdante se devaient alors d'embrasser le postérieur dénudé d'une Fanny factice. Les expressions
Faire fanny,
Baiser Fanny,
Être fanny ou
Se prendre une fanny sont équivalentes[/size].
[size=40]Tradition[/size]
[size=30]

À l'origine, les perdants devaient embrasser les fesses d'une femme postiche nommée Fanny, représentée sous forme de tableau, de poterie ou de sculpture. Aujourd'hui elle se rencontre plus chez les antiquaires et les brocanteurs qu'au bistro du coin. Mais tous les clubs boulistes en conservent une à leur siège et cette icône fait partie de leur patrimoine.[/size]
[size=30]C'était à la fois une récompense et une honte pour l'équipe perdante mais toujours une franche rigolade pour les spectateurs. « Embrasser Fanny, c'est l'image effrayante de la défaite, la preuve horrible qu’on a été battu. Et pas seulement battu, mais vaincu lamentablement, l'humiliation totale : perdre par 13 à 0 ! ».[/size]